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Cadre politique permettant de penser la place politique de la perversion
et donc peut-être, de penser politiquement, au moins un tout petit peu plus, le problème de la guerre.
Au centre, les conditions fragiles de l’amour heureux,
à l’extérieur les pratiques jouissives perverses faciles, de près ou de loin commandités par l’état.
Le domaine tout à fait central de la pathologie aigue et de la souffrance n’est pas figuré sur ce schéma
mais doit être pensé à la croisée centrale du schéma.
Le pourtour peut être considéré comme condition pour que la machine d’état puisse promouvoir le fonctionnement des sexualités perverses,
tout autant que les pratiques de la perversion conditionnent la tranquillité de la machine d’état.